Les devises se négocient dans un range étroit au cours d'une semaine calme en termes de publications.
Les activités sur les marchés de change sont globalement restés stables la semaine dernière, en l'absence de rapports macroéconomiques clés ou d'actualités géopolitiques. Les données disponibles ont principalement confirmé l'idée d'une économie américaine robuste avec une hausse de la consommation, et d'une croissance plus ralentie en Europe, tandis que les pressions inflationnistes au Royaume-Uni restent relativement impactantes.
Analyse du marché des devises
Les activités sur les marchés de change sont globalement restés stables la semaine dernière, en l'absence de rapports macroéconomiques clés ou d'actualités géopolitiques. Les données disponibles ont principalement confirmé l'idée d'une économie américaine robuste avec une hausse de la consommation, et d'une croissance plus ralentie en Europe, tandis que les pressions inflationnistes au Royaume-Uni restent relativement impactantes. En fin de compte, toutes les devises du G10 ont terminé la semaine à moins de 1 % de leur niveau de départ. Les mouvements sur les marchés émergents ont été plus importants, mais aucune corrélations entre ces derniers ne peuvent être établies.La semaine prochaine, l'accent sera mis sur les indices PMI (Indice des Directeurs d'Achats) de l'activité commerciale, l'indicateur le plus opportun de la croissance économique dans la plupart des grandes zones économiques. Les chiffres de la zone euro, du Royaume-Uni et des États-Unis seront tous publiés mardi. Le rapport sur l'inflation américaine (PCE) de jeudi est également essentiel, car il s'agit traditionnellement de la mesure d'inflation préférée de la Réserve fédérale. Selon ce rapport, l'inflation est en effet moins élevée que le chiffre de l'IPC (Indice des Prix à la Consommation). Également, les analyses apportées au cours de la semaine par les experts de la BCE seront à prendre en considération.
